La Compagnie Puls'Art propose des Cours de Danse Contemporaine : Danse Organique et Modern-Jazz Contemporain.
Découvrez aussi ses Performances, Spectacles de Danse, Collaborations Artistiques et son Parcours original.
Ad Vitam / Création 23
Ad Vitam a été créé pour le vernissage de l’exposition collective d’Art Contemporain “The Anatomy Lesson Revisited” à Sint-Amanduskapel / Gand / Belgique en Juin 2023.
Cette exposition a été développée par les artistes néerlandais Ron Weijers, Larisa Sjoerds et Frans de Winter en collaboration avec le commissaire d'exposition britannique Colin Rhodes et la conseillère tactique Marieta Reijerkerk.
La recherche sur l'anatomie du corps humain a toujours suscité fascination et inspiration chez les artistes. “The Anatomy Lesson Revisited” présente 17 interprétations artistiques inspirées par le tableau La Leçon d'anatomie du Dr Nicolaes Tulp de Rembrandt.
Ad Vitam raconte l’après-funeste, ce qu’il advient après l’autopsie du personnage central du tableau.
Les spectateurs sont transportés dans un espace entre deux vies où s’articulent des états de corps, tantôt souples, tantôt raides, tantôt graves, tantôt légers.
Extraits Ad Vitam :
https://www.youtube.com/shorts/sUm5-Fx2e1M
https://www.youtube.com/shorts/MmyHwF3KzI4
https://www.youtube.com/shorts/OFVgJdTXETE
Going Line / Création 21-22
Going Line est une œuvre hybride basée sur la performance live où la danse, le dessin automatique, la peinture et l’image se rencontrent à la lumière de la diffusion en direct.
Going Line, la ligne qui va, comme la vie qui coule, qui se fraye un chemin, traçant des destinées le long du temps qui s’écoule.
Going Line se lit comme une carte du temps présent. Et les performers, qu’ils soient en train de danser, de peindre ou de dessiner, piochent dans l’alphabet des possibles pour écrire ensemble (collectivement) le temps qui s’écoule.
Going Line s’est créée sans volonté consciente de la faire émerger en tant que telle. L’on préfèrera parler alors d’expérience artistique, dans un contexte exceptionnel de crise sanitaire où le monde et particulièrement le monde culturel s’est arrêté comme une horloge qu’il est temps de faire repartir.
Elle s’est créée dans une salle de cinéma sans spectateur, devant un écran blanc avec comme seule scène des praticables de concert. Elle s’est créée sur ce temps d’après, ce temps de relance, de reprise de mouvement, de retour à la vie artistique et donc à la vie.
En guise de signature, une ligne, ligne de vie, ligne graphique, ligne du corps, sorte de continuum de l’existence à une époque où le morcellement nous menace de toute part.
Car, dans Going Line, il est bien question de vie et de mort mais aussi de vide et de plein, de plat et de volume, d’ombre et de lumière, de mouvement et d’immobilité comme un rappel à la dualité primitive de l’être humain.
